une pâte, comme un bijoux, un objet singulier qu'on regarde et qui nous fait rêver. Combien de perles pour des colliers éphémères et pleins de peinturlures ? Inévitablement je pense aux colliers reçus le jour de la fête des mères...
Sylvie
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08 janvier 2008
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07 janvier 2008
le croquis avance malgré le poids de ce carton à dessin de plomb. Qui sera le plus fort?
Sylvie
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31 décembre 2007
Un rêve : l'homme enceinte !
La femme qui le regarde ...
Elisabeth
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22 décembre 2007
L'oblique chiffonnée d'un garçon de café à l'ancienne.
Pas trop discret, besoin de place pour de vrais clients.
Je peine à recomposer mon visage pour l'installer debout. Mon oeil écoute, mon oreille regarde, mon nez goûte, ma bouche se tait, sans pouvoir vraiment identifier la sensation.
Je suis déjà dehors,
alors, mon corps, encore assis, là.
C'est lui, le garçon qui devait m'apporter un verre d'eau.
Jod
"L'adversaire a étendu sa main
sur tout ce qu'elle avait de précieux"...L'odeur d'un parmentier au micro-onde envahit même les lamentations à voix seule.
Ma tasse est vide, entier le parallélépipède du sucre s'exerce à l'oblique.
Line Clément
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26 novembre 2007
Le temps d'un déménagement : l'ordinateur est dans le carton.
Rétrospective aléatoire.
On ne peut pas se couper en deux : voilà une phrase que je dis quelquefois quand je suis débordée et tu l'as dessiné.
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15 novembre 2007
Elle songe, imagine peut être, rumine certainement.
De ses traits on retient le plaisir
d'être ou de ne pas être
à la recherche d'un nouveau jour
ou peut être d'une nouvelle tête.
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28 octobre 2007
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26 septembre 2007
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17 janvier 2007
Ils s'envolent pour disparaître dans le noir de la nuit- Visages souriants d'un sourire maléfique.
Ambroise
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12 janvier 2007
Ils se déchirent, ils se désirent dans un tourbillon de sensations.
Ambroise