La chanson de didile du mois de février
Vous en souvenez vous, marquise ?
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La chanson de didile du mois de février
Vous en souvenez vous, marquise ?
La chanson de didile du mois de février
La complainte du petit cheval blanc
Georges Brassens
Interprétation, musique et paroles
d'après un poème de Paul Fort
1952
"L'agence des amants de madame Müller"
Hubert Félix Thiefaine
Interprétation, musique et paroles
dans les années 1980
"Un jour, un jour ou l'autre
Je sais que la police viendra chez moi
Pour une sombre histoire de moeurs
Ou pour me fournir des yogourts à la myrtille
À moins que ce ne soit plutôt
Pour l'affaire de cette madame Müller
De rage, je jetterai mes chats
Par la fenêtre du douzième étage
Je rentrerai mes gosses dans le ventre de ma femme
Et je leur dirai: je ne suis pas le mari de madame Müller
Depuis longtemps je ne suis plus son amant
Renseignez-vous
À l'agence des amants de madame Müller ..."
"La solitude"
Léo Ferré
Interprétation, musique et paroles
dans les années 1970
«Je suis d´un autre pays que le vôtre,
d´un autre quartier,
d´une autre solitude.
Je m´invente aujourd´hui des chemins de traverse. ..."
"La marche"
Définition du Grand Larousse encyclopédique en 10 volumes, article MARCHE,
mis en musique par Michel Puig
Interprétée par Colette Magny dans les années 1960
«La marche est, chez l’homme, la forme la plus ordinaire de la locomotion; elle est constituée par des pas successifs. On appelle « pas » l’ensemble des mouvements compris entre le moment où l’une des jambes quitte le sol et celui où elle y arrive de nouveau après avoir oscillé autour de l’articulation coxofémorale. Pendant cette oscillation, l’autre jambe, reposant au sol en état d’extension, soutient le poids du corps. Dès que la jambe en mouvement a dépassé la jambe fixe, le corps tendrait à tomber en avant si la jambe en activité, primitivement fléchie, ne s’étendait à son tour, arrêtant la chute en touchant le sol par son talon. Le pas est terminé.»
"Le Lézard"
Paroles et musique d'Aristide Bruant
Interprétée par Mouloudji dans les années 1950
"On prend des magnièr’ à quinze ans,
Pis on grandit sans
Qu’on les perde :
Ainsi, moi, j’aim’ ben roupiller,
J’ peux pas travailler,
Ça m’emmerde.
....
J’en foutrai jamai’ eun’ secousse,
Mêm’ pas dans la rousse,
Ni dans rien.
Pendant que l’soir ej’ fais ma frape,
Ma sœur fait la r’tape,
Et c’est bien :
Alle a pus d’ daron, pus d’ daronne,
Alle a plus personne,
Alle a qu’ moi.
Au lieu d’ sout’nir ses père et mère,
A soutient son frère,
Et pis, quoi ?..."
"Le joueur de Monte-Carlo"
Poème de Jean Cocteau, mis en musique par Louis Bessières
Interprétée par Mouloudji dans les années 1950
"Quand on est mort entre les morts
Qu'on se traîne chez les vivants
Lorsque tout vous flanque à la porte
Et la ferme d'un coup de vent
Ne plus être jeune et aimé...
Derrière une porte fermée
Il reste de se foutre à l'eau
Ou d'acheter un rigolo
Oui, Messieurs, voilà ce qui reste
Pour laisser tomber les salauds
Mais si la crainte de ce geste
S'attache à vous comme un grelot
Si l'on craint de s'ouvrir les veines
On peut toujours risquer la veine
D'un voyage à Monte-Carlo
Monte-Carlo ! Monte-Carlo !
J'ai fini ma journée
Je veux dormir au fond de l'eau
De la Méditerranée
Monte-Carlo ! Monte-Carlo !
..."
"Chanson parlée"
Poème de Jean Cocteau, mis en musique par Janine Bertille
Interprétée par Jean Marais dans les années 1940
"Il y a des paroles
qui valent des chansons
Paroles et chansons volent
chacune à leur façon
Je sais des chansons étonnantes
Mais si Tristan parle à Iseult
Il est inutile qu'il chante
La musique se fait en eux
Je sais bien que c'est une excuse
Je n'ose proférer un son
Mais je refuse qu'on m'accuse
De vous voler une chanson
Chanson vole que l'on me vole
Aigle vole, vole le vent
Vole la sorcière vole
Qui chevauche un balai vivant...."